Version primitive de 1941. Metteurs en scène : Stéphane Olivié Bisson. Quand Drusilla, la sœur de l’empereur et son unique amour, meurt, tous croient que Caligula est devenu fou, tant il est tyrannique et lunatique. Obsédé par la quête de l’impossible, il déchaîne l’anarchie sur son palais et ordonne des exécutions arbitraires, vivant sa liberté aux dépens de celle des autres, allant même jusqu’à inciter ses sujets à son propre meurtre.
Sommaire Éditorial "L’homme absurde", par Olivier Celik Caligula, version primitive de 1941 L’affiche Le texte de la pièce Commentaires Rencontre avec Stéphane Olivié Bisson, par Olivier Celik Entretien avec Bruno Putzulu, par Gilles Costaz Le miroir d’Albert Camus, par Jean Daniel Caligula, l’œuvre d’une vie, par Pierre-Louis Rey La fabrication d’un monstre, par Stéphane Olivié Bisson L’actualité Scènes : la vogue du théâtre historique, par Gilles Costaz Gens : Claude Guerre, par Stéphanie Tesson Enquête : les titres de pièces, par Rodolphe Fouano La quinzaine d’Armelle Héliot
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