Par un bel après-midi d’été, la gracieuse Léonor et son amant Rougecœur se font déposer en calèche « dans le plus beau pays du monde », un domaine champêtre appartenant à Humilis, vieil et énigmatique ami, qui doit donner le soir même un bal masqué. Rougecœur accuse Léonor de l’avoir trompé, et bien que celle-ci s’en défende, il souhaite la laisser quelque temps sous la garde de cet hôte. Humilis leur présente sa jeune sœur Llô – qui est aussi sa maîtresse – et le jeune Ninio, qu’il considère comme son fils adoptif, lui-même passionnément amoureux de Llô. Mais l’adolescente, elle, n’a d’yeux que pour Octave, célibataire marginal, amateur de femmes et de plaisirs…
Sommaire : Éditorial Commémoration, par Olivier Celik Dans le plus beau pays du monde Jean Vilar en liberté, par Jacques Téphany Un parcours en quelques dates, par Rodolphe Fouano Indications bibliographiques, par Rodolphe Fouano Le texte de la pièce Commentaires Trois versions de la pièce, par Rodolphe Fouano Regards croisés sur Dans le plus beau pays du monde, par Jacques Lassalle, Muriel Mayette, Jean-Pierre Léonardini et Florence Naugrette Vilar, un écrivain contrarié, par Rodolphe Fouano Lettres inédites de Jean Vilar à Andrée, par Jacques Téphany Manifestations dans le cadre du Centenaire Jean Vilar L’actualité La quinzaine de Gilles Costaz À l’affiche à Paris, par Jacques Farnèse L’agenda : les festivals de l’été 2012 Lire : la sélection de L’avant-scène théâtre
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